Weed-end de fin Juin 2019
Trente ans que l’on attend !
On en a enfilé des Perles. Depuis.

On arrive dans l’après-midi de vendredi, posé en bivouac sauvage au bord du Doron qui fait un vacarme pas possible sans amener la moindre fraîcheur 😉
Une bise aux présents et allez, roule ma poule. J’ai prévu une boucle qui sera bien écourtée à cause de sentiers ravinés et éboulés. La combe d’Enfer aurait pu être mon Eden de l’après-midi sauf que !
Une rubalise en interdit l’accès au niveau de la fenêtre EDF. Pas grave, j’improvise sur Champagny en Vanoise sauf que la trace que je veux suivre n’existe plus. La nature a repris ses droits. Pas grave, je remonte la piste raide, redescend par où je suis monté et file sur le seul itinéraire possible en fond de vallée dans le Parc National de la Vanoise. Bien suivre la piste, hein. Pas sortir sur les sentiers ! Au moins, en bord de piste, les marmottes sont visibles et bien grasses. On ne peut pas les louper. Rapide visite au refuge des Glières et son sympathique gardien. Il est temps de redescendre pour la zone des festivités (alcoolisées)…
Douche fraîche revivifiante et on rejoint les zamis pour un apéro qui dure, qui dure. Soirée sur le thème du liquide avec Mathieu qui tient 3 bouteilles à la fois et nous sert comme 10 … Liquide aussi avec la fondue aux 3 fromages (la vraie, la savoyarde ;-)) bien dosée en vin blanc à la louche (la grosse).
On passe au fromage, toujours accompagné par la farandole des bouteilles entre Ventoux, Roussette et autres élixirs viticoles (savoyards aussi).
Il est temps de passer au sous-sol, histoire de se coucher en vodka et musique. Enfin pour ma part, c’est surtout la vodka…

 


Parcours:

Un peu d’histoire avec la catastrophe de l’Épéna en 1818 (JuanPierro aurait pu la posser aux PascauxnocesdePerles)
http://eskapad.info/data/randonnees-journee/pdf/Le-lac-de-la-Gliere.pdf

 

Réveil en douceur ce samedi matin. Ni musique, ni tambours dans la tête. C’est bon, on tient le coup. On va pouvoir continuer ce soir 😉
Les électrifiés décident de partir sur la Roche de Mio via la raide piste de ski, passage au col de la Bauche de Mio (2502m) et descente sentier sur le Bois via le Tovet et le Morre. Belle descente sur de beaux passages avec un panorama sur la Vanoise et bien au delà. On peut passer à la douche et lancer le compte à rebours pour l’apéro.


Parcours:

Samedi soir
L’apéro commence en douceur. Les artistes arrivent au fil de l’eau. Les bouteilles au fil des verres.
Mathieu, toujours en Maître de chais.
Il s’est amélioré le bougre depuis hier. Ancien rameur, avec des pognes comme des raquettes, il tient 4 bouteilles en même temps et son service irréprochable fait net à chaque fois. Il est toujours là où on l’attend, à l’affût quoi 😉
Dommage de le perdre dans un doctorat sciento-physiquo-écoulement d’air parce qu’il nous a ravi le palais. Ce n’est pas grand père Albert qui va me contredire. La plupart du temps, c’est même lui le fournisseur.
De toutes façons, la trilogie grand-père, père et fils se complète à merveille et pour le choix des breuvages, on leur laisse la maîtrise.
Y’en a 1 qui dit, y’en a 1 qui achète et y’en a 1 qui sert. Mais tous les 3, y z’y goûte.
Aucunes fausses notes (ce n’est pas comme la musique dirait Denis – j’en profite, il n’était pas là 😉
Diot polenta, fromage, choux à la crème, financier et madeleine. Pascale et  Janine façon sucré, c’est très bien aussi.
Soirée animée et MDR avec JuanPierro en Faucou et son distributeur de bonbons qui nous cache une fois sur deux l’écran des (fausses) réponses. J’ai l’impression que Fernande avait un problème de satellisation. Toujours placée en orbite mais pas dans le bon axe. Elle devait être de cheville avec son mec, j’en suis sûr !
Arrive le moment ultime avec la fausse vraie réponse sur la plaque d’immatriculation. Toutes les réponses étaient fausses 😉
C’est sûr qu’avec l’accent de JuanPierro, on ne comprend peut-être pas le sens de la question 😉 où alors, il n’avait pas dit le bon dernier mot.

Il est temps de passer au sous-sol, les bulles attendent. Rapide distribution de capotes aux couples légitimes et autocollants marmotte aux blaireaux immatriculés 73 (ou l’inverse, je ne sais plus). La musique redémarre, on arrive à danser le jerk avec jeanine giavaresi qui cette fois, et j’en suis heureux, n’a rien caché d’illégal car son bonnet semble correct. Elle pourrait presque passer la douane !
Encore quelques fous rires, 2 ou 3 verres de bulles, une poire bien glacée et il est temps d’aller écouter à l’horizontale, le doux vacarme monotone du ruisseau tumultueux. En tous cas, il fait bien frais et je m’endors avec le goût des bonbons que j’ai piqué.

Merci pour ce week end endiablé, on s’est bien marré et j’ai toujours l’impression qu’il n’y a rien d’insurmontable à recommencer. Ah si, un peu de gouleyant pour démarrer.
Faudrait peut être essayer aussi de mettre Fernande au service 🙂

Bises à tous.

Categories:

Commentaire visiteur

  1. Ce fut un long périple du printemps pour dénicher le breuvage, accompagné le plus possible de roulade en vtt ou en vélo à tout faire ( buvez éliminez pas toutafait comme dans la pub). On peut souligner les découvertes
    La cave de Bédoin et la ferme Saint Pierre et les gorges de la Nesque ,
    Fitou chez Mainadier sur la route de l’Estartit et ses chemins côtier en forêt ,
    Cabrière et ses tunnels en chêne vert et le toujours ludique tour du lac du Salagou a porté de main ,
    Une petite merveille du cru, à Brison Saint Innocent et son tour de la Chambotte
    Pour finir à la cave Cruet pour la boille de Jacquère qui a mouillé le diot et lié la fondue (eh oui , amis de l’autre croix, même la savoyarde peut être est liée si on s’applique)

    Merci pour ce reportage-racontage

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *